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La douleur est le tribu de la terre, le fondement de la
vie humaine. | |
La lumière n'est jamais souveraine, dés lors qu'elle
émane du bas. Elle n'est que l'épicentre de certaines
polarités qui s'attirent à elles quelques subjectivités, pour
répondre à l'appel d'un devenir. En conséquence, la richesse
est indéfiniment en dehors de ce que l’on espère, quand elle
n’est pas fondamentalement intrinsèque. Et nul ne peut
s’enorgueillir d’être possesseur de quelque chose d’ultra,
sinon l’empirique prend le pas sur l’ascétisme.
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Trouver la foi dand l'espoir et l'espoir en aimant la
vie. | |
Dévoilée dans une présence, au-delà de l’existence,
en un espace temps où la haine ne s’est jamais accomplie.
Comme naufragés de son histoire, et du savoir, la connaissance
retourne à l’état premier, celui qui précède le désir.
Suscitant la relation et l'élan, tel un chant de création,
renforçant l'essentiel de la spiritualité, parmi l'empreinte
de la mémoire connue. | |
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Le rêve est cette partie de nous qui appelle vers
l'élan | |
Vraiment on scruterait bien par-delà ses visions,
au-delà de l'œil , là ou on ne réflèchit pas l'art de vivre et
d'aimer, pour savoir ce qui il y a au fond de cette grandeur
là. Sérieusement composer dans le vide de son âme un
apodictique concept, puis regarder vers le futur ce qui
amplifie parmi la manifestation du destin.
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L'homme décharge sa religiosité, au-delà de son
dualisme | |
Nous-mêmes inventons en profondeur ce que l'on aime
bien, lorsque notre optimisme nous donne le plein pouvoir sur
notre complaisance. Autre chose de nous-mêmes, pour nourrir la
bas au fond de l'obscurité, dans la nuit des choses à
enfanter. Des actions successives, des éléments captatifs
appropriés qui multiplient les apostasies, et qui cependant
font éclore l’âme. | |
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