Le bruit de la terre
Le chemin de la vie
Le chant du ciel..
Le bruit de la terre
Le temps la vérité
 
 
 
La douleur est le tribu de la terre, le fondement de la vie humaine.
La lumière n'est jamais souveraine, dés lors qu'elle émane du bas. Elle n'est que l'épicentre de certaines polarités qui s'attirent à elles quelques subjectivités, pour répondre à l'appel d'un devenir. En conséquence, la richesse est indéfiniment en dehors de ce que l’on espère, quand elle n’est pas fondamentalement intrinsèque. Et nul ne peut s’enorgueillir d’être possesseur de quelque chose d’ultra, sinon l’empirique prend le pas sur l’ascétisme.

Trouver la foi dand l'espoir et l'espoir en aimant la vie.
Dévoilée dans une présence, au-delà de l’existence, en un espace temps où la haine ne s’est jamais accomplie. Comme naufragés de son histoire, et du savoir, la connaissance retourne à l’état premier, celui qui précède le désir. Suscitant la relation et l'élan, tel un chant de création, renforçant l'essentiel de la spiritualité, parmi l'empreinte de la mémoire connue.

Le rêve est cette partie de nous qui appelle vers l'élan
Vraiment on scruterait bien par-delà ses visions, au-delà de l'œil , là ou on ne réflèchit pas l'art de vivre et d'aimer, pour savoir ce qui il y a au fond de cette grandeur là. Sérieusement composer dans le vide de son âme un apodictique concept, puis regarder vers le futur ce qui amplifie parmi la manifestation du destin.

L'homme décharge sa religiosité, au-delà de son dualisme
Nous-mêmes inventons en profondeur ce que l'on aime bien, lorsque notre optimisme nous donne le plein pouvoir sur notre complaisance. Autre chose de nous-mêmes, pour nourrir la bas au fond de l'obscurité, dans la nuit des choses à enfanter. Des actions successives, des éléments captatifs appropriés qui multiplient les apostasies, et qui cependant font éclore l’âme.