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Au-dessus de nos têtes, règne l'harmonie du
touchant | |
Dans le grand jardin suspendu, au-dessus de nos
têtes, règne l'harmonie du touchant. Ces hauts alpages des
grandes quêtes migratrices, portent les stigmates de nos
grandes profondeurs, là ou résonnent encore les échos de nos
oraisons. Et les prières cathédrales théoriques confirment la
synthèse de toutes nos vibrations en mouvements symétriques,
pour former le chant de l'impossible.
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Prêtant l'oreille au silence des expressions, il y a
comme un va et vient qui ranime le
cœur. | |
L’opiniâtreté à percevoir la réalité telle quelle se
révèle à dessein, favorise l'identification, dans la détente
supérieure d'un acte volontaire, à savoir l'action d'aider une
présence occupante, vers l'essentiel d'une oeuvre attentive à
la spiritualité. Comment distiller la coïncidence, comment
délivrer l'âme extasiée, et que contacter sinon l'acte d'amour
parmi la suprématie divine.
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L'amour est éternel le mal est
périssable. | |
Issue de sa force fondamentale, la prière
consécutive, te fait le don son identité, un sceau de foi
incubé en lumière, dans le creuset profond de la vérité.
L'homme s'affranchit de sa géhenne, sous l'allure d'une
épreuve, d'un mouvement évolutif, un processus substantiel,
naturelle gestation spirituelle.
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La pâleur est toujours candide, quand les affres de la
mort colorent nos oripeaux. | |
On ne parle pas souvent de la mort, on n'envisage
pas l'acte le dénouement par lequel l'identification naturelle
rendra le destin plausible. D'aucun vous prédirez le jugement
absolu, pour un ciel maudit ou bénit. Moi je ne sais, mais il
me semble que la mort prend son inspiration dans la vie, et
dans ses conséquences.
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