Le chant du ciel..
Le chemin de la vie
Le chant du ciel..
Le bruit de la terre
Le temps la vérité
 
 
 
Au-dessus de nos têtes, règne l'harmonie du touchant
Dans le grand jardin suspendu, au-dessus de nos têtes, règne l'harmonie du touchant. Ces hauts alpages des grandes quêtes migratrices, portent les stigmates de nos grandes profondeurs, là ou résonnent encore les échos de nos oraisons. Et les prières cathédrales théoriques confirment la synthèse de toutes nos vibrations en mouvements symétriques, pour former le chant de l'impossible.

Prêtant l'oreille au silence des expressions, il y a comme un va et vient qui ranime le cœur.
L’opiniâtreté à percevoir la réalité telle quelle se révèle à dessein, favorise l'identification, dans la détente supérieure d'un acte volontaire, à savoir l'action d'aider une présence occupante, vers l'essentiel d'une oeuvre attentive à la spiritualité. Comment distiller la coïncidence, comment délivrer l'âme extasiée, et que contacter sinon l'acte d'amour parmi la suprématie divine.

L'amour est éternel le mal est périssable.
Issue de sa force fondamentale, la prière consécutive, te fait le don son identité, un sceau de foi incubé en lumière, dans le creuset profond de la vérité. L'homme s'affranchit de sa géhenne, sous l'allure d'une épreuve, d'un mouvement évolutif, un processus substantiel, naturelle gestation spirituelle.

La pâleur est toujours candide, quand les affres de la mort colorent nos oripeaux.
On ne parle pas souvent de la mort, on n'envisage pas l'acte le dénouement par lequel l'identification naturelle rendra le destin plausible. D'aucun vous prédirez le jugement absolu, pour un ciel maudit ou bénit. Moi je ne sais, mais il me semble que la mort prend son inspiration dans la vie, et dans ses conséquences.