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Quant a fleurit la fleur de mon âme, au grand soleil de
l'éther | |
Une existence rayonne de sa portée intégrale, toute son
entité dressée à la rencontre du possible, la loi de l'unicité
engage deçà la formule requérante, celle qui apparaît comme
une princesse blanche, glorifiant un frère ou une sœur. La foi
se développe bien au-delà de la physique voire de la
philosophie, la priorité va au développement spirituel. La vie
donne naissance à la mort, pour briser le joug titanesque du
rapport de la vie avec la matière.
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Est-ce la collusion d'un être à la recherche de son
identité | |
Quelque chose vibre au fond du soir, un attachement
parallèle, une vie, une histoire à laquelle nous appartenons
tous, et que nous devons unir avec l'essentiel, jusqu'au bout
dans notre propre vie, par le lien sacré des sentiments.
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L'exil de soi consume le substrat du doute, par la
lumière de la certitude écartant tout ce qui
fut. | |
La conscience abrite d'émouvantes pensées, des
quantités de choses vivent, la relation entre deux causalités.
Une voie dont l'ouverture est une claire ascension, que
confère la bienveillance. Cherchant une réaction par ce qui
peut s'exprimer, dans le secret des éloquences mentales.
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Oublie la matière et vie dans la
lumière. | |
Quand détaché de tous les liens matériels, je
m'envolerai vers demain accompagné de mes frères spirituels,
alors sera venu le temps de faire les comptes, pour franchir
le seuil de la délivrance, afin de n'être plus qu'un.
Aurons-nous le temps de nous apitoyer sur nos erreurs passées,
quand délivrés de nos chaînes nous serons libérés, notre envol
sera t’il plus léger.. | |
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